Nayeli Lorne

Ryan laissa faire la petite. il la recala de nouveau dans ses bras et passa le gants froid sur son visage pour la rafraichir. Angela tremblante lui amena le verre de au. Il le prit et le tendit à Nayeli, elle refusa de boire.

" Il faut que tu boives Nay...ca va t'enlever le gout..."

il bu un peu.

" certifié non empoisonné..."
Il le porta à ses lèvres et la fit boire avant qu'elle repousse le verre.

"Bonne fille..."

Il se leva, la calant dans ses bras et se dirigea vers la fenêtre qu'il ouvrit.
La il commenca à la bercer doucement. Il était peut etre la seule présence masculine qui était aussi intime pour la gamine.

" Laisse toi aller nayeli, tu es fatiguée"

Ryan continua quelques minutes, une main posée dans son dos avant de revenir vers le lit et l'y installer. Il la couvrit et lui baisa le front. " Adieu gamine" murmura-t-il en se relevant. A présent entre adulte, il regarda Angela.

" je ne reviendrais pas, vous comprenez mieux qu'un enfant que pou moi, ca prendra très longtemps...c est cruel, mais il faudra entretenir l'espoir qu'elle me reverra...parce que sinon elle va laisser la maladie gagner. La perte d'un ami est dur, mais c'est mieux pour elle...après un an ou deux, dites lui que je suis mort d'une overdose, ca passera..."

Il dona ses dernieres isntructions et jeta un derneir coup d oeil a Nayeli avant de vouloir quitter la pièce.

"Attendez"

Andrea ne se sentait pas bien de laisser Ryan partir ainsi.

"Il faut que je vous parle d'elle avant que vous partiez..."

Ryan s'arrêta alors qu'il voulait passer la porte. Il revint sur ses pas, vers la mère.

"Faites vite dans ce cas, j'ai promis à mon...médecin d'ête là dans une heure... maxi"

*Sinon bonjour les courbatures au cou,,et pire ensuite,,,*

Andrea lança un coup d'oeil à Nayeli avant de reporter son regard sur Ryan.

"Nayeli tient beaucoup à vous... Vous êtes toujours là quand elle est au plus mal... C'est votre métier mais... Vous l'aidez à supporter les traitements... Elle se laisse faire néanmoins... Ce n'est pas comme si vous n'étiez que le médecin froid qui s'occupe de son patient parce que c'est juste son boulot... Merci pour tout ce que vous avez fait pour elle... J'aurais vraiment aimé que cela continue... "

La mère de Nayeli marqua une pause.

"Depuis quelques temps elle perd l'appétit et dort peu... Rien ne lui fait envie... Je ne sais pas pourquoi."

Ryan l'écouta en silence. C'était ne facette de sa personnalité. Il se donnait à fond dans ce qu'il faisait; que ce soit la médeine, la drogue ou la prostitution. Il s'attachait comme une sangsue. Mais Ryan médecin était humain et ne supportait pas la souffrance alors il fasait en sorte de rendre ca moins lourd.

" Merci madame, j'aurais aussi aimé, mais je suis arrivé au point non retour cette fois-ci...je n'ai plus le choix"

Il soupira par la suite.

"C'est le traitement, nous avons augmenter la dose, et son corps doit s'habituer avant qu'elle ne puisse reprendre une vie correcte...et puis il y a le psychique....allez donc savoir ce qui lui passe par la tête...."

Ses yeux assi clairs que l'eau balayèrent le lit.

" Seule... elle sait qu'elle va mourir avant les autres,; parce que c'est pas de chance....lfrustrée parce qu'elle ne peut pas faire comme fillette tout le monde et triste parce qu'elle ne peut pas espmrer à n futur qui changera ca..." murmura-t-il,

"Je ne saurais pas l'expliquer mais ce n'est pas comme d'habitude lorsque vous augmentez les doses. Je crois qu'elle souffre mais qu'elle ne veut pas me le dire... C'est comme si elle ne voulait pas m'entraîner avec elle... Je crois qu'elle sait que j'ai des problèmes même si je fais tout pour le lui cacher..."

Andrea regarda sa fille tristement. Elle était désespérée mais elle portait un masque avec Nayeli pour la protéger. L'intéressée s'agita dans son lit et la Andrea baissa un peu plus la tête en la voyant faire.

"ça recommence..." murmura-t-elle plus pour elle que pour Ryan.

"Alors c'est comme d'habitude, parce que oui elle souffre, chaque seconde est souffrance a fur et à mesure que sa leucemie la ronge. Elle aussi ne vous le montrait pas, sauf que là elle est tellement un légume qu'elle achemal son jeu....c'est tout...."

Il regardala jeune enfant. Il se rappelait quand il avait eu une méningite. Son père ne l'avait pas quitté, jamais, à chaque fois qu'il ouvrait les yeux, une pai de yeux bleus, n sourire réconfortant et un accent typiqemen écossais venaient à sa rencontre, l'encourageait. Penser à son père lui était douloureux, très douloureux, parce que après Carson, les bras qui le erraient, les sourires qu'il avait....étaient froids, et n'apportaient pas ce réconfort que son père lui apportait. il secoua la tête, il n'était pl un gamin, il avait été vacciné contre la méningite et son père était ùmort. Aourd'hui c'était l'histoire de Nayeli.

" Si elle ne s'agiterais pas, la il audrait s'inquéter....mais vous ne voulez pas qu'elle suive la thérapie qui accompagne le traitement... je dis pas qu'il faut... je sais ce que j'ai dit et je hais toujours autant les psy, parce qu'ils ont un balai dans le cul et un petit pois dans la tête..."

Il se rapprocha de la gamine, rajustant la couverture et carssant son front.

" Vous pouvez demander des somnifère sinon"

" Ellee acceptera si on lui explique pourquoi... elle est intelligente.;;et trop mur pour son âge..."

Il prit de la paracétamol et le lui injecta directement.

"Elle a de la fièvre, vous savez que faire...mais éviter le bain à cause de sa coupure...et faites la boire..."

Il nota enore quelque chose dans la fiche de route de la pêtite et la remit dans le lit.

" Une nuit d'observation et elle pourra rentrer"

"Ferme les yeux Nay...c'est rien.."

Il la mit sur le côté et lui caressa le dos tout en lui chantant une berceuse gaélique que son père lui chantait quand il était petit. Il prenait du retard, il devait sortir pour entamer sa vie d'esclave, car c'était ce qu'il était maintenant, n esclae avec un surcis...il s'était venu, tout simpleent.


" dors et ne te fais plus de mourrons...là où tu vas, tu pex faire tout ce que tu veux...qaudn tu veux.."

*Pourquoi es-t donc si cruelle avec moi Nayeli... pourquoi ne me laisses-tu pas partir avant que je ne le dois le faire plié en deux...*

Il ne dit rien de ses pensées et souleva le petit corps pour le remettre dqns ses bras, Assis sur le lit, il commenca à la bercer.

"Chuuut, là...chuuut, ca ira tu verras... ca ira..." lui murmurait-il en laissant sa main errer dans son dos.

Entre deux sanglots Nayeli prit la parole.

"J'ai peur... pour toi..."

Sa main agrippa la veste de Ryan.

"Peur?"

* Moi aussi j'ai peur pour moi... je suis terrorisé en fait*

Il la serra un peu plus contre lui.

" Tu n'as pas à avoir peur, Nayeli, là où je vais on prendra bien soin de moi....et je pourrais faire le point sur certaines choses...j'essayerai d'appeler ou de t'écrire mh... c'est pas comme si on aura plus aucun contact"

* mensonge.... le mensong devient vérité quand on y croit*

Nayeli savait quand Ryan mentait. Quand il lui disait qu'un examen ou un traitement ne faisait pas mal elle avait appris à savoir reconnaître quand il disait ou pas la vérité.

"Arrête de mentir..."

" Je ne mens pas Nay...c'est la vérité...mais y aura une période où je pourrais pas, parce que je vais être isolé, pour pouvoir réfléchi...c'est très compliqué je te l'accorde"

Il soupirq, baisant sa joue.

" Ta mère m'a dit que tu déprimais...c'est vrai?"

" Ca a une raison ou c'est simplement parce que tu supportes plus aussi bien la douleur?"

"Maman pleure presque tous les soirs... Même si j'ai trop mal je ne lui dis pas parce que je sais qu'elle veut pas que je la vois comme ça..."

" Tu sais tu es encore petite et pourtant plus sage que ta mère::: il n'y a aucune honte à pleurer, ca soulage, comme toi maintenant, votre situation est triste, et tu sais ce que tu as, mais les bons moments peuvent toujours venir et puis il y a oujours une chance qu on trouve un traitemetn définitif, ta mère a beaucoup souffert, mais sois égoiste, tu souffres plus qu'elle..."

"Mais moi je sais que c'est normal parce que je suis malade..."

" Quand tu vois un animal que tu aimes beaucoup souffrir, tu as mal au coeur, tu aimerais faire tout pour le soulager...et comme on ne trouve rien npour vraimetn le guérir, ca te pèse et tu te sens coupable...c'est comme ca que se sent ta mère...et c'est normal aussi...enfin normal entre guilleéemts"